Les 29 heures du Mans Classic 2018.
Textes et photos par Valentin Bourgeois.
"Les 24 heures du Mans écrivent l'histoire, Le Mans Classic la raconte."
Telle est la formule employée par Peter Auto, organisateur historique de l'événement, pour présenter celui qu'on appelle parfois simplement "LMC" voir "Les 24 heures classic". Un événement légendaire, qui rassemble près de 700 autos de compétition durant l'espace d'un weekend ensoleillé du mois de juillet. Avec plus de 135 000 spectateurs, 1000 pilotes venus de trente pays et 8500 voitures amenées par les 200 clubs, Le Mans Classic possède désormais une notoriété internationale et s'installe comme l'une des manifestations historiques les plus importantes au monde !
Vous comprendrez donc mon engouement pour cette neuvième édition et je me suis plié en quatre pour vous concocter un reportage digne de ce nom ! Avec près de 70 kilomètres de marche accumulés sur tout le weekend, 29 heures de photographie intensive (soit plus de 2500 photos !) et un thermomètre avoisinant parfois les 30 degrés, couvrir l'événement n'était pas une mince affaire !
Voici donc mon article, à l'odeur de gomme et au son des moteurs... Bonne lecture !
Vous comprendrez donc mon engouement pour cette neuvième édition et je me suis plié en quatre pour vous concocter un reportage digne de ce nom ! Avec près de 70 kilomètres de marche accumulés sur tout le weekend, 29 heures de photographie intensive (soit plus de 2500 photos !) et un thermomètre avoisinant parfois les 30 degrés, couvrir l'événement n'était pas une mince affaire !
Voici donc mon article, à l'odeur de gomme et au son des moteurs... Bonne lecture !
Vendredi 6 Juillet : Mise en bouche...
Arrivé le vendredi soir sur le circuit du Mans, je gare ma voiture sur un bel emplacement dans l'enceinte du circuit Bugatti et découvre aussitôt une horde d'autos toutes aussi chaudes les unes que les autres. Voici un petit avant goût du plateau 6 que nous retrouverons plus tard dans le weekend !
Un rapide passage par la vente aux enchères Artcurial, qui, cette année, incitait à la spéculation en proposant un certain nombre de supercars. L’un des lots principaux, une 300 SL Roadster, s’est tout de même vendue près de 3 millions d’euros, soit 3 fois son estimation, tandis que de nombreux lots n'ont pas trouvé preneur ou sont partis en dessous du prix de réserve. La maison repart tout de même avec une recette de 12 748 930€.
Non loin de là, quelques clubs exposent déjà leurs belles autos. 905, Miura, 911, Type E... Il y en a pour tous les goûts.
Dirigeons-nous à présent vers les paddocks pour un petit avant goût de ce qui nous attend ce weekend. Je ne vous cache pas qu'entre les retrouvailles avec des connaissances et des discussions par-ci par-là, la nuit est tombée très vite !
La nuit tombée, seuls les paddocks restent assez éclairés pour faire des photos. N'ayant pas encore de chasuble presse pour aller arpenter le bord de piste, je décide de passer une bonne partie de la soirée en voie des stands, à la recherche de la moindre action !
Tant que je ne suis pas encore en bord de piste et donc loin des animations, j'en profite pour passer sur le stand dédié à l'anniversaire des 70 ans de Porsche. Une exposition impressionnante qui vient conclure un premier jour prometteur !
Samedi 7 Juillet : Le marathon commence !
En cette matinée ensoleillé, je m'octroie quelques heures de sommeil de plus (en réalité, mon réveil n'a pas sonné) afin de me préparer à la longue journée qui m'attend. Il est dix heures trente et je profite du soleil matinal pour me promener dans les paddocks où la plupart des voitures sont débâchées !
Je retrouve la 911 "Revival Le Mans Classic" du préparateur anglais Paul Stephens, un beau projet néorétro qui s'inspire des désormais fameuses Singer. Ici, c'est une 911 Type G que vous pouvez transformer en 2.7 RS Touring ou Lightweight, moyennant un prix de 280 000 euros. Ajoutez quelques équipements modernes, et vous obtenez une belle 911 qui vous sera livrée en 2020 sur la ligne de départ du Mans Classic.
Allez, direction le bord de piste pour une petite session de Groupe C ! L'événement faisant tourner les plateaux 1 à 6 sans interruption durant 24 heures, les Groupe C ne profiteront que d'une seule petite séance le samedi en plus des essais du vendredi. Bien dommage pour ceux qui, comme moi, n'ont pas pu être de la partie plus tôt mais bon, cela reste du beau spectacle ! J'ai donc décidé de me poser aux chicanes précédant la ligne droite des stands, me permettant ainsi de revenir rapidement pour la suite des événements.
À noter que la course fut mouvementée avec quelques renversements de situation, dont certains rappelaient une certaine arrivée aux 24 heures du Mans de Toyota... Une Jaguar s'est ainsi arrêtée sur la ligne droite des stands, devant son équipe ! Le reste du plateau était aux petits oignons : coloré, éclectique et varié ! Entre les Porsche 956 présentes en masse, les Jaguar XJR12 et XJR9, les Peugeot 905 ou les moins courantes Rondeau, il y en avait pour tout les goûts.
Cette année, grâce à mon passé déjà bien rempli auprès des événements de Peter Auto en tant que photographe accrédité, j'ai pu obtenir une chasuble qui me donne accès au bord de piste. Un privilège qui, au Mans Classic, n'est pas illimité. En effet, l'organisation a mis en place un nouveau système qui permet d'avoir une chasuble durant quatre heures consécutives par jour. Ainsi, lorsqu'on vient la chercher, on l'a forcément s'il s'agit de notre première demande. Mais au bout de ces quatre heures de "location", il faut la rendre pour que d'autres photographes en profitent eux aussi. Un système qui, même s'il me gêne un peu dans la réalisation de mon reportage, n'est pas si bête que ça et permet une rotation certaine, bien que certains avaient le graal habilement surnommé "chasuble permanent". Bref, soumis à cette règle, j'ai décidé de prendre la chasuble sur les premières heures de l'après midi pour profiter des Groupe C, des parades Alpine et Jaguar, du Global Endurance Legends et enfin de la parade des 70 ans de Porsche.
Revenons à nos moutons avec deux photos des peu intéressantes parades Alpine et Jaguar, avant de passer aux Global Endurance Legends !
Revenons à nos moutons avec deux photos des peu intéressantes parades Alpine et Jaguar, avant de passer aux Global Endurance Legends !
Et voici le moment tant attendu, la consécration de mon aventure photographique : une session des Global Endurance Legends sur le circuit des 24 heures du Mans ! Mais à quoi correspond donc cette catégorie ? Et bien, vous prenez la crème de l'endurance de la fin des Groupe C à nos jours, vous les lâchez pour des tours à très haute vitesse non chronométrés et vous obtenez un spectacle tout simplement saisissant. Imaginez deux secondes, vous pouvez y voir une Audi R8 Spyder (pas la voiture de série), une McLaren F1 GTR, une Aston Martin V12 Vantage GTE, une Ferrari 550 Prodrive parmi d'autres Porsche 996 GT2 ou prototypes Pescarolo Courage... En 2018 !!! Pour moi qui suis un très grand fan des années 90-2000 en course automobile, il s'agit d'un moment inoubliable. Allez, assez bavardé, je vous laisse profiter des photos !
La session terminée, j'ai à peine le temps de souffler que la parade Porsche commence déjà. 356 no.1 avec le petit fils de Ferdinand Porsche au volant, 996 GT1 menée par Stéphane Ortelli... C'est tout le patrimoine de Porsche qui emprunte le circuit pour un tour hommage et il va bientôt falloir me réanimer !
Je profite des dernières minutes en bord de piste avant de retourner rendre ma chasuble avec le Porsche Classic Race Le Mans. En hommage au soixante-dixième anniversaire de la marque, Peter Auto avait créé une catégorie proposant aux modèles les plus mythiques des années 60 de prendre la piste durant une heure pleine. Nous avons eu le droit à un ballet de 911, entre quelques 904 et rares 907... Un pur plaisir !
Je rentre donc en salle presse pile à temps pour les Little Big Le Mans, série ô combien chère à l'événement qui précède le plateau 1 et lance les festivités des 24 heures de course non-stop. Coloré, varié et rempli de bonne humeur, le défilé de plus de 30 bambins se lance à l'assaut de la ligne droite des stands pour une course enjouée jusqu'au Dunlop !
Chasuble rendue, je décide de faire un tour du côté des clubs qui sont pleins à craquer. Entre le millier de Porsche et les autres autos, il y a de quoi y passer toute l'après-midi. Allez, c'est le moment de la traditionnelle méga-galerie ! Mention spéciale au photographe Matt Hummel, qui a fait venir du Tennessee sa Porsche 356 pour l'événement !
Retour dans la voie des stands à laquelle j'ai heureusement toujours accès grâce à un brassard prêté par le service presse de Peter Auto. Alors que les BMW et Porsche partenaires se préparent pour leur tour à très haute vitesse, un avion nous fait quelques pirouettes dans le beau ciel bleu du Mans, nouveauté de cette année !
C'est désormais l'heure de mon premier départ Le Mans ! Le plateau 2 s'aligne petit à petit sur la ligne droite des stands, et je me retrouve juste derrière une 300 SL, ce qui promet pour les photos ! 3, 2, 1... Top départ !
Alors que la course fait rage, j'attends l'ouverture de la fenêtre d'arrêts aux stands pour retrouver les autos. Avec une température ambiante avoisinant les 40 degrés dans la pitlane, je ne vous cache pas que je passe une bonne partie de l'attente au frais dans les boxes !
Vient enfin le moment tant attendu, l'ouverture de la fenêtre d'arrêts aux stands ! S'il y a bien une chose que je vous conseille de vivre dans votre vie de passionné d'automobiles, ce sont des arrêts aux stands "à l'ancienne". Pas de temps incroyable (la F1...), un petit pit crew généralement composé de trois à quatre personnes qui font le tour de la voiture, s'occupent d'hydrater le pilote, nettoient le pare-brise et contrôlent la pression des pneus et bien sûr des autos anciennes ! Mais le plus impressionnant est l'afflux de voitures dans la voie des stands... Pour faire simple : le speaker annonce que la fenêtre est ouverte, et quasiment tout le plateau s'arrête dans la minute qui suit. C'est une course dans la course et c'est très intense, mais qu'est ce que c'est bon ! Entre les autos arrêtées avec les freins qui fument, celles qui font des flammes au ralenti, celles qui repartent en patinant, celles qui n'arrivent pas à redémarrer, cela provoque un vacarme assourdissant sous les sifflets des commissaires... Même les odeurs sont spéciales et c'est ça qui est bon !
Petit passage par le village pour voir les perles du plateau 3 se mettre en place. J'en profite aussi pour aller manger, ayant programmé de shooter une session du plateau 3 le dimanche.
À ce propos, certains d'entre vous m'ont déjà posé des questions de l'ordre de "Prépares-tu tes weekends sur circuit ? Si oui comment fais-tu ?" et je vais en profiter pour vous répondre. Avant l'événement, je regarde le programme qui est, la plupart du temps, disponible en ligne. En fonction de l'intérêt que présente chaque plateau à mes yeux, je prévois de couvrir tel plateau à telle heure pour une condition particulière (si le plateau 4 tourne au coucher de soleil, je vais le privilégier par rapport à une autre animation durant ce même temps). D'un autre côté, si je vois que le plateau 3 tourne en fin d'après midi le samedi et en fin de matinée le dimanche, je me dis que je vais privilégier la session du dimanche. En effet, la lumière en fin d'après-midi n'est pas la meilleure et il faut parfois faire une pause ! Un autre facteur peut aussi être celui auquel j'étais confronté cette année : les contraintes vis-à-vis de la chasuble bord de piste. Bref, ici, j'ai profité de la fin du plateau 2 et de la course du plateau 3 pour m'octroyer une petite pause et manger un peu. Sachant que mon auto était garée dans un parking à l'autre bout du circuit Bugatti, il fallait bien prévoir 30 minutes de battement et un passage obligatoire par le village !
À ce propos, certains d'entre vous m'ont déjà posé des questions de l'ordre de "Prépares-tu tes weekends sur circuit ? Si oui comment fais-tu ?" et je vais en profiter pour vous répondre. Avant l'événement, je regarde le programme qui est, la plupart du temps, disponible en ligne. En fonction de l'intérêt que présente chaque plateau à mes yeux, je prévois de couvrir tel plateau à telle heure pour une condition particulière (si le plateau 4 tourne au coucher de soleil, je vais le privilégier par rapport à une autre animation durant ce même temps). D'un autre côté, si je vois que le plateau 3 tourne en fin d'après midi le samedi et en fin de matinée le dimanche, je me dis que je vais privilégier la session du dimanche. En effet, la lumière en fin d'après-midi n'est pas la meilleure et il faut parfois faire une pause ! Un autre facteur peut aussi être celui auquel j'étais confronté cette année : les contraintes vis-à-vis de la chasuble bord de piste. Bref, ici, j'ai profité de la fin du plateau 2 et de la course du plateau 3 pour m'octroyer une petite pause et manger un peu. Sachant que mon auto était garée dans un parking à l'autre bout du circuit Bugatti, il fallait bien prévoir 30 minutes de battement et un passage obligatoire par le village !
Nous voici donc au moment le plus photogénique du weekend : le coucher de soleil du samedi soir. Avec les belles autos du plateau 4 en guise de sujets, ce sont des hordes de GT40, des 904 GTS, des Cobra et des Bizzarrini qui nous offrent l'un des plus beaux spectacles de l'événement !
La nuit est ensuite inaugurée par la première course du plateau 5. Les Porsche 917, Ferrari 512S et autres Lola T70 s'attaquent aux 13 kilomètres du Circuit des 24 heures pour notre plus grand plaisir !
La journée se termine sur les flammes et les hurlements des 5 cylindres des M1 Procar, des 6 cylindres Turbo des 935 et des V8 des Lola du plateau 6 ! Ce plateau est mon favori de par le spectacle proposé, entre les retours de flammes, les batailles constantes et les configurations hautes en couleur... J'adore et je me surprends à en profiter sans même prendre de photos...
Dimanche 8 Juillet : La fatigue se fait sentir...
Trois petites heures de sommeil plus tard, me voici de retour au niveau de la passerelle Dunlop pour le lever de soleil. Décrit par tous comme incroyable, c'est exténué que je reprends les photos sans vraiment réaliser ce qu'il va m'arriver...
La seconde course du plateau 5 bat son plein alors que les premières lueurs du soleil apparaissent... Ah la magie du Mans !
Logiquement, le plateau 6 va bénéficier de la fantastique lumière du soleil levant. Avec des autos photogéniques au possible, des configurations de la même trempe et le son pour vous réveiller, voici le meilleur moment de cette édition du Mans Classic...
Comme je vous ai dit précédemment, c'est seulement après que j'ai réalisé la chance que j'avais eu d'avoir pu assister à ce moment magique. J'étais tellement fatigué que je suis retourné me reposer juste après cette course qui terminait vers 8 heures du matin. Deux petites heures plus tard, me revoici sur le circuit bien réveillé et prêt à voir une 250 GT Breadvan en glisse... C'est l'heure de la course du plateau 3 que j'avais manquée la veille !
Suite des événements avec la mise en place du départ Le Mans du plateau 4. Massivement dominé par les GT40, la course s'avère très intéressante et pleine de rebondissements, avec même une GT40 qui roule porte ouverte !
Les voitures mises en place et un faux départ plus tard, le vrai départ est lancé et les pilotes s'élancent en courant vers leurs voitures ! L'idée ici est de refaire un départ type à l'ancienne, mais celui-ci n'a aucune incidence sur le classement de la course. En effet, les voitures s'arrêtent ensuite dans les Hunaudières pour reformer la grille et s'élancer de manière lancée. Bref, pour une meilleure immersion, je vous conseille de regarder la prochaine galerie en cliquant sur une photo puis en changeant pour les suivantes avec les flèches !
Il est déjà l'heure de manger lorsque la course commence, je décide donc d'attendre patiemment le plateau 5 et ses arrêts aux stands (très) mouvementés en pleine course décisive !
Le weekend est sur le point de se terminer et, en guise de bouquet final, nous avons droit à une ultime course du plateau 6. Cette course était particulière car, au début, la musique typique qui se lance avant le départ des 24 heures du Mans s'est mise à retentir pour terminer sur un "lâcher de chevaux" assourdissant. Comme à mon habitude, c'est en pitlane que je vis cette dernière course pour y trouver des personnes assez connues du milieu : Henri Pescarolo, Paul Belmondo, Uwe Alzen (multiple vainqueur des 24 heures du Nürburgring sur Porsche) parmi tant d'autres !
Viennent ensuite des arrêts aux stands si effrénés que je manque de temps pour choisir mes victimes et me contente de ce qu'il y a devant moi. C'était du sport pour tout le monde, je peux vous l'assurer !
La course se finit ensuite en salle presse pour moi tandis que les coureurs passent sous le drapeau à damiers... Agité par le directeur de course, sur la piste directement ! Décidément, l'ambiance 24 Heures a été poussée jusqu'au bout dans cette course, pour notre plus grand plaisir. Je me dirige désormais vers le camping du Houx où les équipes rechargent. Entre les victimes du weekend, celles qui étaient invisibles ou celles que je n'ai tout simplement pas vues, je me fais plaisir et il n'y a pas grand monde pour gâcher les photos...
C'est donc ainsi que se termine cette superbe édition du Mans Classic. J'ai pu avoir quelques regrets : tout d'abord, c'est de ne pas avoir pu couvrir les courses des plateaux 1 et 2 par manque de temps. Comme expliqué précédemment, il faut faire des choix dans l'organisation de ce weekend et il n'est pas facile de couvrir Le Mans Classic seul alors que la plupart des autres médias envoient une équipe de plusieurs personnes. Mais j'aime couvrir cela à ma façon et, n'ayant qu'un intérêt amoindri pour les autos de ces plateaux, j'ai été obligé de faire l'impasse. De même, je suis resté tout au long du weekend sur la première partie du circuit qui est permanente. Les contraintes posées par les attributions temporaires des chasubles m'ont empêché de me rendre sur la partie "routière" du circuit qui a l'air encore plus photogénique, ce qui aurait pu déboucher sur un reportage davantage diversifié... Ce sera pour 2020 !
Les extras
Parce qu'un événement n'est rien sans ses participants, ses organisateurs et ses visiteurs, je vous propose un petit bonus des photos "inclassables" prises tout au long du weekend.
J'en profite aussi pour remercier toute l'équipe de Peter Auto pour cette excellente édition du Mans Classic, les coureurs et propriétaires pour avoir fourni le plateau d'autos toutes aussi folles les unes que les autres. Le Mans Classic, c'est tous les deux ans en alternance avec Chantilly Arts & Elegance (qui n'aura donc pas lieu cette année), c'est fatigant mais c'est assurément l'un des meilleurs événements historiques au monde...
J'en profite aussi pour remercier toute l'équipe de Peter Auto pour cette excellente édition du Mans Classic, les coureurs et propriétaires pour avoir fourni le plateau d'autos toutes aussi folles les unes que les autres. Le Mans Classic, c'est tous les deux ans en alternance avec Chantilly Arts & Elegance (qui n'aura donc pas lieu cette année), c'est fatigant mais c'est assurément l'un des meilleurs événements historiques au monde...
À propos de l'auteur : Valentin BOURGEOIS